23/09/2019 Auteurs Fiche sur le parcours de Nelson Mandela pour le connaitre et parler en classe de la tolĂ©rance. La fiche de lecture, les questions pour lâĂ©lĂšve et un diaporama peuvent ĂȘtre tĂ©lĂ©chargĂ©s en pdf. MatĂ©riel de classe en relation Aucun matĂ©riel complĂ©mentaire ajoutĂ© pour lâinstant des idĂ©es Ă soumettre ? Retours d'expĂ©rience Responses je nâarrive pas Ă ouvrir la ressource Merci de nous lâavoir signalĂ© câest rĂ©parĂ© ! đ Cette fiche ressource vous a Ă©tĂ© utile ? Faites-en profiter dâautres ! Ă la recherche d'une autre ressource ? Fan de FLE ? Abonnez-vous ! Aux podcasts des AgitĂ©s Ă Agitox, l'infolettre d'Agito
TĂ©lĂ©chargercette image : New York - NY - 20200615 Famke Janssen est vu prendre une photo d'un quotede Nelson Mandela gĂ©ant qui est exposĂ© sur un panneau d'affichage Ă Soho. -EN PHOTO : Famke Janssen Jose Perez - 2FK9890 depuis la bibliothĂšque dâAlamy parmi des millions de photos, illustrations et vecteurs en haute rĂ©solution.
Il y a un problĂšme, soit ce sont les Juifs qui traĂźnent avec eux toujours les mĂȘmes travers, soit ce sont les antisĂ©mites qui se rĂ©vĂšlent lourdement rĂ©pĂ©titifs dans les accusations quâils colportent Ă leur sujet Ă travers les Ăąges. Il y a douze siĂšcles, on ne saura jamais exactement quand, on pense entre 823 et 828, saint Agobard 769 â 840, Ă©vĂȘque de Lyon, qui contribua Ă faire de sa citĂ© Ă©piscopale lâun des centres de la Renaissance carolingienne, adressait Ă Louis le Pieux une lettre en latin au titre sans la moindre Ă©quivoque et qui en fera sursauter plus dâun AD EUMDEM IMPERATOREM, DE INSOLENTIA JUDAEORUM soit LETTRE A LOUIS LE PIEUX SUR LâINSOLENCE DES JUIFS Louis le Pieux 778 â 840 tableau de Jean-Joseph Dassy 1791â1865 Le 10 mai, câest la commĂ©moration de lâAbolition de lâesclavage, personne nây Ă©chappera, dans les communes, nous aurons droit dans les mairies, les mĂ©diathĂšques, les gymnases Ă des expositions sur le sujet. Nombre de ces lieux publics portent dâailleurs des noms tout Ă fait propitiatoires et tellement liĂ©s Ă lâhistoire de France tels que Rosa Park, Martin Luther King et bien sĂ»r, Nelson Mandela. Aucun lieu ne porte en revanche le nom de saint Agobard et pas une seule exposition ne prĂ©sentera sa lettre Ă Louis le Pieux. Cette lettre est pourtant considĂ©rĂ©e par les spĂ©cialistes comme le premier tĂ©moignage disponible relatif Ă lâenlĂšvement dâenfants par des Juifs dans le cadre du trafic Ă destination de lâEspagne arabo-musulmane, elle fait allusion Ă des abominations, il sâagissait sans doute de castration. Le rĂŽle des Juifs dans la traite des esclaves chrĂ©tiens semble avoir Ă©tĂ© Ă son apogĂ©e aux IXe et Xe siĂšcles. Ariel Toaff nous explique quâĂ cette Ă©poque, les Juifs sillonnaient les villes de la vallĂ©e du RhĂŽne, Verdun, Lyon, Arles et Narbonne, en plus dâAquisgrana [Aix-la-Chapelle], capitale de lâempire au temps de Louis le Pieux [Louis Ier], et, en Allemagne, les centres de la vallĂ©e du Rhin, Worms, Magonza et Magdeburg; en BaviĂšre, de Ratisbonne, et en BohĂȘme, de Prague. Ils Ă©taient prĂ©sents sur les principaux marchĂ©s aux esclaves en proposant Ă la vente des femmes, des hommes, et des enfants quâils avaient arrachĂ©s Ă leurs foyers. De lâEurope christianisĂ©e, cette chair humaine Ă©tait souvent exportĂ©e en Espagne alors terre dâislam. La castration, surtout celle des enfants, faisait monter les prix et Ă©tait une pratique des plus lucratives. On objectera quâaujourdâhui, il nâest plus question de trafic dâenfants castrĂ©s, mais Toaff pense que ce fait historique est Ă lâorigine des histoires de meurtre rituel qui continuent de circuler de nos jours sous la forme modernisĂ©e â si on peut dire â des buveurs de sang de bĂ©bĂ© vivant pour rester Ă©ternellement jeune, grosse ambition de certains acteurs Ă Hollywood. Quoi quâil en soit Ariel Toaff passe sous silence le titre de la lettre â alors quâil sait pertinemment quâune meilleure traduction dâInsolencia serait tout simplement chutzpah â et il ne cite que les passages de la lettre qui concernent lâesclavage, câest dĂ©jĂ pas mal, mais la lettre vaut la peine dâĂȘtre reproduite en intĂ©gralitĂ©, son ton fumant ne baisse pas dâintensitĂ© une seconde. Par exemple, tous ceux qui pensent que La dĂ©mocratie partout et toujours, nâest jamais que le paravent de la dictature juive. » Louis-Ferdinand CĂ©line, Bagatelles pour un massacre 1937, Ă©d. DenoĂ«l, 1937, p. 51 vont devoir rĂ©viser leur copie la proximitĂ© et la connivence des Juifs avec le pouvoir sont dĂ©jĂ dĂ©noncĂ©es telles quelles dans la lettre â Ă une Ă©poque pourtant pas particuliĂšrement dĂ©mocratique. Dans 1917 le Rond-point PoincarĂ© nous avions bien vu, en citant quelques extraits de ses mĂ©moires, Ă quel point Raymond PoincarĂ© pouvait facilement contacter Rothschild et les membres du consistoire tandis que la laĂŻcitĂ© de la RĂ©publique lui interdisait de rencontrer des Ă©vĂȘques. Mais mĂȘme ce caractĂšre antichrĂ©tien, au dĂ©triment de lâĂglise de la connivence entre le pouvoir et les Juifs est dĂ©jĂ palpable dans la lettre dâAgobard. Tout ce quâon peut dire, Ă la rigueur, câest que dans le passĂ©, il arrivait aux empereurs et aux Rois de prendre des mesures quâon qualifierait aujourdâhui dâantisĂ©mite, ce quâune dĂ©mocratie ne fait jamais. Mais, autre surprise de taille dans cette lettre, ces mesures antisĂ©mites ne semblent pas avoir jamais concernĂ© lâabattage rituel saint Agobard se plaint dans sa lettre de la viande casher! Il explique que pour ĂȘtre casher, il ne suffit pas que lâanimal ait Ă©tĂ© abattu selon un certain rituel, il faut en outre quâĂ son ouverture, le cadavre de lâanimal prĂ©sente un certain nombre de caractĂ©ristiques sâil ne les prĂ©sente pas, la carcasse est refourguĂ©e Ă la vente pour les chrĂ©tiens, autrement dit, ce qui nâest pas bon pour les Juifs peut bien ĂȘtre consommĂ© par les chrĂ©tiens. Est-ce que les choses sont diffĂ©rentes aujourdâhui? Pas sĂ»r du tout, il est au contraire tout Ă fait plausible que la carcasse dĂ©clarĂ©e non casher soit toujours remise dans le circuit de vente gĂ©nĂ©rale, ainsi, les gentils se retrouvent Ă consommer la viande dâun animal abattu selon des rites quâils nâapprouvent pas, ni en termes de souffrance animale, ni en termes dâhygiĂšne. Si en deux mille ans dâhistoire, on nâa jamais rĂ©ussi Ă interdire la viande casher, quelles sont les chances aujourdâhui dâinterdire le halal? Voici donc cette lettre dans son intĂ©gralitĂ©, en français et en latin, en gras les passages concernant lâesclavage et lâabattage rituel. Petit clin dâoeil Ă lâabbĂ© Rioult, quel prĂ©lat oserait aujourdâhui sâexprimer comme saint dâAgobard. Source Agobard LETTRE A LOUIS LE PIEUX SUR LâINSOLENCE DES JUIFS AGOBARD DE LYON LETTRE A LOUIS LE PIEUX SUR LâINSOLENCE DES JUIFS Au trĂšs chrĂ©tien et trĂšs pieux vainqueur et triomphateur, Louis, empereur trĂšs heureux et toujours auguste, Agobard, le plus humble de ses serviteurs. Câest le Dieu tout-puissant qui, dans sa prescience, vous a prĂ©destinĂ©, avant la naissance des siĂšcles, Ă rĂ©gner en nos temps calamiteux ; câest lui qui vous a douĂ© dâune sagesse et dâun amour de la religion qui vous Ă©lĂšvent au-dessus des autres mortels, vos contemporains ; il nâest donc pas douteux quâil vous a prĂ©parĂ© pour que vous portiez remĂšde aux maux de notre Ă©poque, dont on peut dire tout ce que lâapĂŽtre marque de celle de lâAntĂ©christ. Câest pourquoi je supplie votre longanimitĂ© dâĂ©couter dâune oreille patiente les choses sur lesquelles jâai cru dâune importance capitale et pour ainsi dire unique dâappeler la pieuse sollicitude de votre gouvernement. Si jâavais pu vous faire cet exposĂ© sans vous nommer les auteurs du mal, je lâaurais fait volontiers ; mais cela nâĂ©tant pas possible, je me confie Ă votre bontĂ© dans la responsabilitĂ© que jâassume de vous faire connaĂźtre ce quâil mâa semblĂ© pernicieux de vous cacher. PrĂ©cĂ©dĂ©s par Evrard, magistrat des juifs, sont venus ici Guerric et FrĂ©dĂ©ric, vos commissaires impĂ©riaux sans doute, mais moins pour exĂ©cuter vos ordres que les ordres de quelque autre. Ils se sont montrĂ©s aussi terribles envers les chrĂ©tiens que doux envers les juifs ; je parle surtout de Lyon, oĂč ils ont donnĂ© comme un spĂ©cimen des anciennes persĂ©cutions contre lâEglise, semant parmi nous la dĂ©solation, les gĂ©missements et les larmes. Comme cette persĂ©cution a Ă©tĂ© dirigĂ©e principalement contre moi, il ne me sied pas de la dĂ©voiler dans son entier; je ne le ferais quâautant que votre sollicitude voudrait tout savoir. Mais je reprendrai, quoiquâen peu de mots, le rĂ©cit de ce qui sâest fait contre lâĂglise de JĂ©sus-Christ. Tout dâabord les juifs commencĂšrent par venir me prĂ©senter un diplĂŽme portant votre nom ; ils en prĂ©sentĂšrent un autre au vice-gouverneur vicomte du comtĂ© de Lyon, ordonnant Ă celui-ci de prĂȘter main-forte aux juifs contre moi. Quand mĂȘme ces diplĂŽmes Ă©taient dressĂ©s en votre nom, quand mĂȘme ils Ă©taient scellĂ©s de votre anneau, nous ne pouvons en aucune sorte croire quâils soient Ă©manĂ©s tels de votre jugement et autoritĂ©. Les juifs sâen prĂ©valurent aussitĂŽt avec lâinsolence la plus odieuse, menaçant de faire tomber sur moi tous les chĂątiments par les commissaires dont ils annonçaient avoir obtenu lâenvoi pour tirer vengeance des chrĂ©tiens. AprĂšs les juifs, Evrard, leur magistrat, vint aussi me trouver, me rĂ©pĂ©tant les mĂȘmes paroles, et mâaffirmant que Votre MajestĂ© Ă©tait dans une grande irritation contre moi Ă cause des juifs. Enfin, les commissaires susdits arrivĂšrent Ă Lyon, ayant dans leurs mains les lettres qui les accrĂ©ditaient de votre part, et des capitulaires ou instructions dont il ne nous est pas possible dâadmettre que la teneur exprime vos ordres. La joie des juifs ne connut plus de bornes; Ă©gale fut la consternation des chrĂ©tiens, non seulement de ceux qui sâenfuirent, qui se cachĂšrent, ou qui furent emprisonnĂ©s, mais de tous ceux qui ne furent que les tĂ©moins du scandale, lorsque surtout les juifs, se voyant ainsi soutenus, ne craignirent pas de prĂȘcher outrageusement aux chrĂ©tiens ce quâil fallait croire et professer, blasphĂ©mant ainsi en leur prĂ©sence JĂ©sus-Christ, notre Dieu, Seigneur et Sauveur. Ce qui achevait de leur donner de la force et de lâaudace, ce furent certaines paroles de vos commissaires, adroitement murmurĂ©es aux oreilles de plusieurs, savoir que les juifs sont loin de vous ĂȘtre abominables, comme on le pense communĂ©ment, quâau contraire ils sont trĂšs chers Ă vos yeux du reste, ajoutaient leurs dĂ©fenseurs, ils sont tenus par vous en bien des points pour meilleurs que les chrĂ©tiens. Au moment oĂč les commissaires impĂ©riaux Ă©taient arrivĂ©s Ă Lyon, jâen Ă©tais absent et fort Ă©loignĂ©, car jâĂ©tais Ă Nantua, occupĂ© Ă arranger une difficultĂ© survenue entre les religieux de ce monastĂšre. Je fis partir, aussitĂŽt que je fus informĂ©, des messagers avec des lettres oĂč je disais aux commissaires de prescrire tout ce quâils voudraient, dâagir selon quâil leur Ă©tait enjoint, que nous Ă©tions prĂȘts Ă obĂ©ir. Mais cela ne nous valut aucune indulgence ; il y eut de telles menaces contre plusieurs de mes prĂȘtres, nominalement dĂ©signĂ©s quâils furent obligĂ©s de dĂ©rober leur prĂ©sence. Or voici ce qui nous a attirĂ© cette persĂ©cution de la part des fauteurs des juifs câest parce que nous avons prĂȘchĂ© aux fidĂšles de ne pas vendre aux juifs des esclaves chrĂ©tiens, de ne pas souffrir non plus que les juifs vendissent des esclaves chrĂ©tiens aux Sarrasins dâEspagne. Notre crime est encore de ne pas permettre quâils aient dans leurs maisons des mercenaires de notre religion, de peur que les femmes chrĂ©tiennes ne cĂ©lĂšbrent avec eux le sabbat, quâelles ne travaillent pour eux le dimanche, et quâen temps de carĂȘme elles ne mangent avec eux. Enfin notre crime est de dĂ©fendre Ă nos fidĂšles dâacheter des juifs les viandes des animaux tuĂ©s et Ă©corchĂ©s par ceux-ci, de les revendre aux autres fidĂšles, de boire de leur vin, etc. Câest un usage des juifs, quand ils tuent un animal pour sâen nourrir, ils ne lâĂ©gorgent pas, mais ils lui font trois incisions, et quand ils lâouvrent, si le foie apparaĂźt avec quelque lĂ©sion, si le poumon est attachĂ© au cĂŽtĂ©, sâil est rempli dâair, si le fiel ne se rencontre pas, etc., ils rejettent cette viande comme immonde, et, dâun mot insultant, ils lâappellent de la viande chrĂ©tienne. De mĂȘme, pour leur vin, sâil arrive quâil sâĂ©coule et sâĂ©panche dans des endroits sordides, vite ils le ramassent de terre, le recueillent dans des vases, le dĂ©clarent impur, et se gardent bien dâen user; ils le rĂ©servent pour le vendre aux chrĂ©tiens. Nous nâavons pas voulu favoriser ces pratiques outrageantes pour le christianisme. Personne nâignore quâils en ont une infinitĂ© dâautres. Saint JĂ©rĂŽme, qui les connaissait Ă fond, nous apprend que, tous les jours et dans toutes leurs priĂšres, ils maudissent Notre-Seigneur JĂ©sus-Christ ainsi que les chrĂ©tiens sous le nom de NazarĂ©ens. Les juifs eux-mĂȘmes nâen font pas de mystĂšre. Câest pourquoi dans mes sermons au peuple, il mâest arrivĂ© de prĂȘcher de la sorte Si quelquâun est un bon et fidĂšle serviteur, et quâil sache son maĂźtre insultĂ©, calomniĂ©, outragĂ© par un homme, ce serviteur ne se fera pas lâami de cet homme et nâira pas sâasseoir Ă sa table. Et, sâil le faisait, son maĂźtre ne le regarderait pas comme un bon et fidĂšle serviteur. Or, nous savons que les juifs blasphĂšment et maudissent Notre-Seigneur JĂ©sus-Christ et ses disciples ; nous ne devons donc pas nous unir Ă eux par la participation Ă leurs mets et Ă leurs breuvages, de la maniĂšre dont les anciens PĂšres nous lâont marquĂ© et prescrit par leurs exemples et par leurs paroles. Toutefois, puisquâils vivent au milieu de nous et que nous devons ne pas ĂȘtre mĂ©chants Ă leur Ă©gard ni leur porter dommage dans leur vie, dans leur santĂ©, ou dans leurs richesses, tenons-nous en Ă la mesure clairement dĂ©finie par lâEglise humains pour les juifs, mais sur nos gardes, voilĂ ce que nous devons ĂȘtre. â Jâai ainsi prĂȘchĂ© aux fidĂšles, et câest encore ce que les juifs ne mâont pas pardonnĂ©. Ce sont lĂ , ĂŽ trĂšs pieux Seigneur, quelques traits seulement sur les tribulations et les dangers que subit une population chrĂ©tienne par le fait des juifs et de leurs fauteurs, et je ne sais pas mĂȘme sâils pourront parvenir Ă votre connaissance. Combien pourtant il serait nĂ©cessaire que vous fussiez informĂ© de certaines autres particularitĂ©s trĂšs prĂ©judiciables Ă notre foi! Les juifs, habiles Ă mentir Ă nos chrĂ©tiens qui sont simples, se glorifient dâĂȘtre fort aimĂ©s de vous Ă cause de leurs patriarches; ils se vantent de paraĂźtre avec grand honneur en votre prĂ©sence, ayant libres leurs entrĂ©es et leurs sorties ; ils disent que des personnes trĂšs excellentes rĂ©clament leurs priĂšres et leurs bĂ©nĂ©dictions, faisant lâaveu quâelles voudraient bien avoir un auteur de leur loi comme lâauteur de la loi judaĂŻque; ils disent que vos conseillers sont fort excitĂ©s contre moi Ă cause de toutes les prohibitions que je fais aux chrĂ©tiens dâacheter leur vin, etc.; que dans les lois il nây en a aucune qui ordonne aux chrĂ©tiens de sâabstenir de leurs boissons et de leurs viandes. En affirmant tout cela, ils montrent des sommes dâargent quâils se targuent dâavoir reçues de vos conseillers prĂ©cisĂ©ment pour achat de leur vin; ils montrent des diplĂŽmes donnĂ©s en votre nom, scellĂ©s avec des sceaux en or, et contenant des paroles qui assurĂ©ment ne peuvent ĂȘtre authentiques ; ils montrent des vĂȘtements magnifiques que des dames de votre famille ou de votre palais leur auraient envoyĂ©s comme prĂ©sents pour leurs Ă©pouses. Puis ils rappellent avec emphase la gloire de leurs ancĂȘtres ; ils parlent des synagogues nouvelles que, contrairement Ă la loi, on leur permet de bĂątir. Enfin la sĂ©duction est arrivĂ©e Ă ce point que nos chrĂ©tiens ignorants disent que les juifs leur prĂȘchent une meilleure doctrine que les prĂȘtres. Ce qui a portĂ© le mal Ă son comble, câest la mesure ordonnĂ©e par les commissaires impĂ©riaux de changer le jour du marchĂ©, qui se faisait le samedi et qui a Ă©tĂ© transfĂ©rĂ© Ă dâautres jours pour ne pas gĂȘner la cĂ©lĂ©bration du sabbat judaĂŻque. La raison qui a Ă©tĂ© donnĂ©e de ce changement, câest la proximitĂ© du dimanche. Mais cette proximitĂ© au contraire convenait Ă merveille aux chrĂ©tiens, car ceux qui habitent la ville, aprĂšs avoir achetĂ© au marchĂ© du samedi les provisions nĂ©cessaires, sont entiĂšrement libres de vaquer le lendemain aux solennitĂ©s des messes et aux prĂ©dications; et ceux qui habitent loin de la ville, sây rendant le samedi Ă lâoccasion du marchĂ©, peuvent assister aux offices du soir et du lendemain matin, aprĂšs quoi ils retournent avec Ă©dification chez eux. Mais cela nâallait pas aux juifs, et voilĂ pourquoi on lâa changĂ©. » Nous vous dirons ce que les Eglises des Gaules, câest-Ă -dire ceux qui les ont gouvernĂ©es, rois et Ă©vĂȘques, ont pensĂ©, statuĂ©, transmis Ă la postĂ©ritĂ© touchant la sĂ©paration des deux religions, la chrĂ©tienne et la juive, et combien cela est conforme Ă lâautoritĂ© des Ecritures et Ă la conduite des apĂŽtres. Il vous sera dĂ©montrĂ© quels dĂ©testables ennemis de la vĂ©ritĂ© sont les juifs et combien pires que tous les autres mĂ©crĂ©ants, Ă cause des sentiments indignes quâils ont de la DivinitĂ© et des choses cĂ©lestes. » Au moment oĂč je venais de dicter ces pages, il nous est arrivĂ©, fuyant du fond de lâEspagne, câest-Ă -dire de Cordoue, un homme qui disait avoir Ă©tĂ© furtivement enlevĂ© par un juif, Ă Lyon, il y a vingt ans, nâĂ©tant encore quâun petit enfant, et vendu comme esclave. Il sâest enfui dâEspagne, cette annĂ©e mĂȘme, avec un autre chrĂ©tien, qui avait Ă©tĂ© pareillement dĂ©robĂ©, Ă Arles, par un juif, il y a six ans. Sur cela nous avons cherchĂ© des personnes qui connussent cet ancien habitant de Lyon; nous en avons trouvĂ© et il nous a Ă©tĂ© affirmĂ© que bien dâautres chrĂ©tiens ont Ă©tĂ© ou volĂ©s ou achetĂ©s par le mĂȘme juif pour ĂȘtre revendus. On nous a aussi parlĂ© dâun autre juif qui, cette annĂ©e mĂ©mo, a enlevĂ© et vendu un enfant. Enfin, on vient de dĂ©couvrir que plusieurs chrĂ©tiens ont Ă©tĂ© livrĂ©s par dâautres chrĂ©tiens Ă des juifs, et que ceux-ci exercent sur ces esclaves des actions infĂąmes quâon aurait honte dâĂ©crire. » AGOBARDUS AD EUMDEM IMPERATOREM, DE INSOLENTIA JUDAEORUM. Christianissimo, et vere piissimo, et in Christo victori ac triumphatori Ludovico imperatori felicissimo, semper Augusto Agobardus abjectissimus omnium servorum vestrorum. Cum Deus omnipotens, qui vos ante tempora praescivit et praeordinavit rectorem pium futurum temporibus valde necessariis, sublimaverit prudentiam vestram et studium religionis supra caeteros vestri temporis mortales; dubium non est praeparatum vos ad remedium temporibus periculosis, de quibus apostolus loquitur In novissimis diebus instabunt tempora periculosa, et erunt homines se ipsos amantes, cupidi, elati, et caetera , et habentes quidem speciem pietatis, virtutem autem ejus abnegantes; de quibus nihil est exspectandum quod jam non videatur, nisi solutio Satanae, et publica calcatio sanctae civitatis mensibus quadraginta duobus, quae futura est per caput omnium iniquorum Antichristum. Cum haec igitur ita se habeant, obsecro tranquillissimam longanimitatem vestram, ut praebeatis patientissimam aurem vestram verbis quibus ego infimus servorum vestrorum nimis necessarium puto admonendam sanctissimam sollicitudinem vestram de re tam necessaria, quae aut sola, aut praecipua est, cui prae caeteris succurrere debeat gubernatio vestra; cujus narrationem si prosequi potuissem tacitis nominibus auctorum, vellem omnino. Sed quia fieri non potest, committo me bonitati et patientiae vestrae, dando me periculis, et innotescens vobis quae tacere perniciosum est. Venerunt Gerricus et Fredericus, quos praecurrit Evrardus missi quidem vestri non tamen per omnia vestra agentes, sed ex parte alterius; et ostenderunt se Christianis terribiles et Judaeis mites, maxime Lugduni, ubi partem persecutionis adversus Ecclesiam depinxerunt, quam multis gemitibus, suspiriis et lacrymis stimulaverunt. Quae persecutio, quia praecipue adversum me acta est, tota a me prodenda non est, nisi forte clementissima sollicitudo vestra scire voluerit. Tamen in quantum Ecclesiae Christi noxia est, si vestra patitur mansuetudo, breviter intimare exordiar. Venientes itaque primum Judaei, dederunt mihi indiculum ex nomine vestro, et alterum ei qui pagum Lugdunensem vice comitis regit, praecipientem illi ut auxilium ferret Judaeis adversum me. Quos indiculos, licet ex sacro nomine vestro recitarentur, et vestro annulo essent signati, nullatenus tamen credimus ex judicio vestro tales prodisse. Coeperunt autem efferri quadam odibili insolentia Judaei, comminantes omnibus injuriis nos afficiendos per missos quos adepti fuerant ad exsolvendam vindictam de Christianis. Post eos venit Evrardus, eadem iterans, et dicens majestatem vestram commotam esse valde adversum me propter Judaeos. Deinde venerunt et praedicti missi, habentes in manibus tractoriam stipendialem, et capitularia sanctionum, quae non putamus vestra jussione existere talia. His causis laetificati sunt Judaei ultra modum, et contristati Christiani, non solum illi qui fugerunt, aut qui absconditi sunt, vel qui districti, sed et caeteri qui viderunt, vel audierunt; maxime ideo, quia sententia Judaeorum ita confirmata est, ut auderent irreverenter praedicare Christianis quid potius credendum esset ac tenendum; blasphemantes coram eis Dominum Deum ac Salvatorem nostrum Jesum Christum. III. Roboratur quoque haec perversitas ex verbis missorum, quibus susurrabant quorumdam auribus, dicentes quod Judaei non abominabiles, ut plerique putant, sed chari essent in oculis vestris, et hominibus eorum dicentibus ex parte meliores eos habitos quam Christianos. Et ego quidem indignus servus vester non eram Lugduni; sed aberam longe, causa Nantuadensium monachorum, qui quadam dissimultate inter se laborabant. Tamen direxi missos nostros et litterulas ad illos, ut praeciperent quidquid vellent, aut eis injunctum esset, et nos obediremus. Sed nihil veniae adepti sumus; ita ut etiam aliqui ex sacerdotibus nostris, quibus nominatim minabantur, non auderent praesentiam suam eis exhibere. Haec passi sumus a fautoribus Judaeorum, non ob aliud nisi quia praedicavimus Christianis, ut mancipia eis Christiana non venderent, ut ipsos Judaeos Christianos vendere ad Hispanias non permitterent, nec mercenarios domesticos habere, ne feminae Christianae cum eis sabbatizarent, et ne diebus Dominicis operarentur, ne diebus Quadragesimae cum eis pranderent, et mercenarii eorum iisdem diebus carnes manducarent, ne quilibet Christianus carnes a Judaeis immolatas et deglubatas emeret, et aliis Christianis venderet, ne vinum illorum biberent, et alia hujusmodi. Est enim Judaeorum usus, ut quando quolibet pecus ad esum mactant, ut subactum idem pecus tribus incisionibus non fuerit jugulatum; si apertis interaneis jecur laesum apparuerit, si pulmo lateri adhaeserit, vel eum insufflatio penetraverit, si fel inventum non fuerit, et alia hujusmodi; haec tanquam immunda a Judaeis repudiata, Christianis venduntur, et insultario vocabulo Christiana pecora appellantur. De vino vero, quod et ipsi immundum fatentur, et non eo utuntur nisi ad vendendum Christianis, si contigerit ut in terram defluat quolibet loco licet sordido, festinantes hauriunt iterum de terra, et ad conservandum in vasa remittunt. Qualiter vero et alia improbanda circa illud agant, non solum de Christianis, sed et de Judaeis multi sunt testes. Quod autem Dominum nostrum Jesum Christum et Christianos in omnibus orationibus suis sub Nazarenorum nomine quotidie maledicant, non solum beatus Hieronymus, qui se scribit novisse illos intrinsecus et in cute, testis est, sed et de ipsis Judaeis plerique testantur. In hac re sumens exempli gratiam, dixi Christianis hoc modo Si aliquis homo seniori suo vel domino fidelis et amator existat, et quempiam hominum senserit illi esse inimicum, detractorem, conviciatorem, et comminatorem, non vult ei esse amicus, nec socius mensae, nec particeps ciborum. Quod si fuerit, et hoc senior ipsius vel dominus deprehenderit, nec fidelem sibi eum esse existimat. Et ideo cum procul dubio noverimus blasphematores et, ut ita dicam, maledictores esse Judaeos Domini Dei Christi et fidelium ejus Christianorum, non debemus eis conjungi participatione ciborum et potuum, juxta modum duntaxat a sanctis Patribus et exemplis datum et verbis praeceptum. Caeterum, quia inter nos vivunt, et maligni eis esse non debemus, nec vitae aut sanitati vel divitiis eorum contrarii; observemus modum ab Ecclesia ordinatum, non utique obscurum, sed manifeste expositum, qualiter erga eos cauti vel humani esse debeamus. Haec, piissime domine, de multis pauca dixi de perfidia Judaeorum, de admonitione nostra, de laesione Christianitatis, quae fit per fautores Judaeorum, nesciens utrum pervenire possit ad vestram notitiam. Tamen summopere necesse est ut sciat piissima sollicitudo vestra, quomodo nocetur fides Christiana a Judaeis in aliquibus. Dum enim gloriantur, mentientes simplicibus Christianis, quod chari sint vobis propter patriarchas; quod honorabiliter ingrediantur in conspectu vestro, et egrediantur; quod excellentissimae personae cupiant eorum orationes et benedictiones, et fateantur talem se legis auctorem habere velle, qualem ipsi habent; dum dicunt consiliatores vestros commotos adversum nos eorum causa, eo quod prohibeamus Christianos vinum eorum bibere; dum hoc affirmare nitentes, plurimas argenti libras ob emptionem vini se ab eis accepisse jactant; et decursis canonibus non inveniri quare Christiani debeant abstinere a cibis eorum et potibus; dum ostendunt praecepta ex nomine vestro, aureis sigillis signata, et continentia verba, ut putamus, non vera; dum ostendunt vestes muliebres, quasi a consanguineis vestris vel matronis palatinorum uxoribus eorum directas; dum exponunt gloriam parentum suorum; dum eis contra legem permittitur novas synagogas exstruere; ad hoc pervenitur, ut dicant imperiti Christiani melius eis praedicare Judaeos quam presbyteros nostros; maxime cum et supradicti missi, ne sabbatismus eorum impediretur, mercata, quae in sabbatis solebant fieri, transmutari praeceperint, et quibus diebus deinceps frequentari debeant, in illorum opinione posuerint, dicentes hoc Christianorum utilitati propter diei Dominici vacationem congruere; cum Judaeis magis probetur inutile quia et hi qui prope sunt, sabbato ementes victus necessaria, liberius die Dominico missarum solemnitatibus et praedicationibus vacant; et si qui de longe veniunt, ex occasione mercati tam vespertinis quam matutinis occurrentes officiis, missarum solemnitate peracta, cum aedificatione revertuntur ad propria. Nunc igitur, si placet benignissimae mansuetudini vestrae audire, dicamus quid Ecclesiae Galliarum, et rectores earum, tam reges quam episcopi de discretione utriusque religionis, ecclesiasticae videlicet et Judaicae, tenuerint, tenendumque tradiderint, et scriptum posteris reliquerint, et quomodo consonum sit auctoritati vel actibus apostolicis, et a Veteri Testamento originem trahens. Ex quibus demonstratur quam detestabiles habendi sint inimici veritatis, et quomodo pejores sint omnibus incredulis, Scripturis divinis hoc docentibus, et quam indigniora omnibus infidelibus de Deo sentiant, et rebus coelestibus. Quae omnia cum confratribus contulimus, et amplissimae Eccellentiae vestrae praesentanda direximus. Et cum praecedens schedula dictata fuisset, supervenit quidam homo fugiens ab Hispaniis de Cordoba, qui se dicebat furatum fuisse a quodam Judaeo Lugduno ante annos viginti quatuor, parvum adhuc puerum, et venditum, fugisse autem anno praesenti cum alio qui similiter furatus fuerat Arelate ab alio Judaeo ante annos sex. Cumque hujus, qui Lugdunensis fuerat, notos quaereremus, et inveniremus, dictum est a quibusdam et alios ab eodem Judaeo furatos, alios vero emptos ac venditos; ab alio quoque Judaeo anno praesenti alium puerum furatum et venditum qua hora inventum est plures Christianos a Christianis vendi et comparari a Judaeis, perpetrarique ab eis multa infanda quae turpia sunt ad scribendum.
NelsonMandela Afrique du Sud LâApartheid Des blancs dâun cĂŽtĂ© De lâautre, des noirs. Nelson Mandela ne trouvait pas cela normal, il a luttĂ© contre les lois de son pays qui ne donnaient pas les mĂȘmes droits aux blancs et aux noirs. A cause de ses idĂ©es qui ne plaisaient pas Ă tout le monde, il a Ă©tĂ© condamnĂ© et est restĂ© en prison pendant 27 ans.
Comment faire un exposĂ© ? La prĂ©sentation orale consiste Ă montrer les rĂ©sultats dâun travail de recherche sur un sujet prĂ©cis devant le public. Le but est dâĂ©duquer, de persuader [âŠ] Continuer la lecture
L'Afrique du Sud en transition" (1995) avec Nelson Mandela (1918-2013) comme Préfacier The struggle is my life (1990) Le Fonds Africa (1987) L'Apartheid (1985) Data 2/20 data.bnf.fr. I have done my duty to my people and to South Africa (1982) Nelson Mandela writes to India (1981) Liberté, justice et dignité pour tous en Afrique du Sud (1978) No easy walk to freedom (1965)
Accueil > Par monts et par vaux ... > South Africa - Afrique du Sud > Afrique du Sud - novembre 2017 dimanche 19 novembre 2017, par La Visite de grands sites de lâAfrique du Sud sâest faite du 1er au 12 novembre 2017. Quelques unes de nos photos sont accessibles Ă partir de chacune des journĂ©es de notre sĂ©jour dĂ©crites ci-dessous. La visite, organisĂ©e pour un groupe dâamis par La Maison de lâAfrique aprĂšs un appel dâoffre lancĂ© par Charles dâAngelo, sâest dĂ©roulĂ©e du 1er au 12 novembre 2017. Afrique du Sud du 1er au 12 novembre 2017 Le programme initial est consultable dans le document joint. Il a Ă©tĂ© complĂ©tĂ© par les exposĂ©s qui, prĂ©parĂ©s par les participants, ont enrichi notre dĂ©couverte du pays avec six confĂ©rences. Nous sĂ©journerons dâabord au Cap et sa rĂ©gion pour rejoindre ensuite le nord-est du pays. Mercredi 1er novembre â PARIS / LE CAP07h10 Rendez-vous Ă lâaĂ©roport de Roissy Charles de GaulleArrivĂ©e au Cap Ă 22h40. Nuit Ă lâhĂŽtel Double Tree by Hilton. Jeudi 2 novembre LE CAP JournĂ©e consacrĂ©e Ă une premiĂšre dĂ©couverte de la ville du Cap. En contrebas de la Montagne de la Table, imposante montagne au sommet plat et aux pentes vertigineuses qui domine lâagglomĂ©ration. Cap Town est la ville la plus australe du continent africain. SurnommĂ©e âLa ville MĂšreâ, elle enchante par son architecture Ă lâanglaise, son centre ville moderne. DâAdderley Street Ă Long Street, tour de ville Ă la dĂ©couverte du Cap et de son Malais particuliĂšrement renommĂ© pour ses maisons teintĂ©es de rose, orange ou bleu ! FondĂ© par les indiens et indonĂ©siens arrivĂ©s au XVIIe siĂšcle lors de la fondation de la colonie du Cap, ce quartier colorĂ© dĂ©gage aujourdâhui une atmosphĂšre dĂ©tendue et au restaurant en tĂ©lĂ©phĂ©rique panoramique de la Montagne de la Table dans une cabine qui tourne sur elle-mĂȘme Ă 360°, offrant une vue panoramique de la baie, lâune des plus belles au Victoria and Alfred Waterfront », devenu un quartier Ă part entiĂšre de la ville depuis quelques annĂ©es. Les anciens docks de Cape Town y ont Ă©tĂ© transformĂ©s en centre commercial et au restaurant Africa Ă lâhĂŽtel Double Tree by Hilton. Vendredi 3 novembre - LE CAP - Tour de la PĂ©ninsuleRoute vers la PĂ©ninsule du Cap en longeant le littoral et les petits villages de pĂȘcheurs. Continuation en passant par le village dâHout Bay avec, si vous avez de la chance, la rencontre en cours de route avec les babouins chacmas !CroisiĂšre Ă Hout Bay jusquâĂ lâĂźle aux phoques !Visite du Parc National de Cap de Bonne " poisson " dans un en direction de Simonâs Town dont le nom vient du gouverneur Simon Van Der Stel. AbritĂ©e des vents Nord-Ouest, Simonâs Town servit de mouillage hivernal aux vaisseaux Ă partir de Ă Boulders Beach oĂč vous pourrez observer une colonie de pingouins surprenante !Visite du Jardin Botanique de Kirstenbosch, autrefois jardin privĂ© de CĂ©cile Rhodes. Certainement un des plus beaux jardins botaniques du monde, il sâĂ©tend sur pas moins de 36 hectares ! Vous verrez des milliers de fynbos, et les cĂ©lĂšbres protĂ©as, la fleur emblĂ©matique de lâAfrique du libre et LE CAPE by night pour les couches tard. Retour Ă lâhĂŽtel Double Tree by Hilton. Samedi 4 novembre - LE CAP - VallĂ©e des VinsPetit dĂ©jeuner Ă "Old Biscuit Mill". Cet ancien hangar se transforme en un immense marchĂ© couvert Ă ne pas manquer succulents fromages, produits bio, bons vins et produits rĂ©gionaux ; une invitation Ă la gourmandise le samedi uniquement !Route des vins, magnifique rĂ©gion de vignobles Ă perte de vue cernĂ©s par de majestueuses sur Le vin en Afrique du Sud nectar des dieux ?.Visite de la charmante ville de Stellenbosch dont lâarchitecure Cap Dutch dĂ©gage une atmosphĂšre de vins sud-africains dans la propriĂ©tĂ© de Rickety Bridger Winery, puis dĂ©jeuner sur littĂ©ralement en Afrikaans "le Coin des Français", charmante petite ville, capitale vinicole du Cap. Elle garde pieusement le souvenir des Huguenots qui y furent installĂ©s en 1688 par le gouverneur Hollandais, Simon van der Stel. Visite du musĂ©e. LâĂ©lĂ©gant monument, dans le jardin fleuri prĂšs du musĂ©e, rappelle la dĂ©termination et le courage inĂ©branlables de ces hommes et femmes auxquels rien ni personne nâa pu faire courber la tĂȘte ils ont pris une part essentielle dans la construction du pays tel que vous le voyez aujourdâ au Cap. DĂźner au restaurant French Double tree by Hilton. Dimanche 5 novembre - LE CAP / NELSPRUIT / HAZYVIEWDĂ©part de Cape Town sur vol rĂ©gulier de South African Airways pour Nelspruit, arrivĂ©e Ă au centre de rĂ©habilitation Jane Good All consacrĂ© Ă la dĂ©couverte du centre de rĂ©habilitation de chimpanzĂ©s, le premier et le seul du genre en Afrique du Sud. Sur cette rĂ©serve privĂ©e, situĂ©e Ă quelques kilomĂštres du Kruger, vous pourrez observer les chimpanzĂ©s pour comprendre leur mode de vie. Lâobjectif est de secourir les chimpanzĂ©s qui ont survĂ©cu Ă la chasse en leur offrant un environement dans lequel ils peuvent Ă©voluer comme Ă lâĂ©tat vers Hazyview et le Gecko Lodge. ConfĂ©rence par Luc sur Les diffĂ©rentes ethnies en Afrique du Sud le poids de cultures diverses, un atout ou un handicap ?DĂźner et nuit au Gecko Lodge. Lundi 6 novembre - HAZYVIEW / BLYDE RIVER CANYON / OHRIGSTADSur la route, confĂ©rence de Dominique-Paul sur Lâapartheid une page noire de lâhistoire de lâAfrique du bateau sur le lac Blyde River Dam. Le Blyde River "La riviĂšre de joie" est situĂ© dans la partie nord de la chaĂźne de montagne des Drakensberg, dans lâest du Transvaal. Le troisiĂšme plus grand canyon du monde a Ă©tĂ© creusĂ© par la Blyde River, et offre, Ă certains endroits, des vues portant jusquâau pluies, trĂšs abondantes, alimentent de trĂšs nombreuses cascades et ont permis le dĂ©veloppement de forĂȘts de pins et dâeucalyptus tout autour de la riviĂšre. Lâune des particularitĂ©s du site concerne les Bourkeâs Luck Potholes, dâĂ©tranges cavitĂ©s cylindriques creusĂ©s dans la roche par les tourbillons de la Blyde dâune heure dans la rĂ©serve du Blyde River au restaurant du Blyde River Forever Resort. Route vers Hannah lodge, Installation et aprĂšs-midi et nuit Ă lâHannah lodge. Mardi 7 novembre - OHRIGSTAD / BLYDE RIVER CANYON / PILGRIMâS REST / SABIPrincipaux sites du Blyde River Canyon La Savane du Bas Veld et le Parc Kruger se devinent au loin, derriĂšre les massifs rocheux richement boisĂ©s oĂč la Blyde River a creusĂ© son lit contraste impressionnant ! Depuis la "FenĂȘtre de Dieu" Godâs Window.Le point de vue le plus spectaculaire est celui des Three Rondavels trois huttes. Ce nom leur est donnĂ© en raison de leur ressemblance Ă des cases africaines ! Lâensemble est dominĂ© par dâimpressionnantes formations rocheuses. Ce point de vue est le plus spectaculaire du "marmites gĂ©antes" Bourkeâs Luke Potholes, roches savamment travaillĂ©es par lâĂ©rosion ; en effet, eau et vent ont conjuguĂ© leurs efforts pour sculpter la roche en forme de cavitĂ©s Rest et dĂ©jeuner au restaurant Diggerâs de guenilles et travaillant chaque jour du lever au coucher du soleil, 1400 Uitlanders se retrouvent bientĂŽt cĂŽte Ă cĂŽte le long de la riviĂšre pour laver patiemment les tonnes de pierre et de terre quâils arrachent Ă la montagne. ExploitĂ©s jusquâen 1972, prĂšs de 150 000 kg dâor furent extraits de ses entrailles. De nos jours, le village qui fut classĂ© monument historique par les autoritĂ©s du TRANSVAAL, a Ă©tĂ© transformĂ© en village musĂ©e de la ruĂ©e vers lâor⊠Spectacle de danses de dâAndrĂ©-Jean sur Le poids Ă©conomique de lâAfrique du sud en Afrique australe prĂ©sent et futurs River side lodge. Comme le fils Trump, certains chasseurs sâaffichent avec leurs trophĂ©es Voici le fils de Donald Trump, brandissant la queue dâun Ă©lĂ©phant quâil vient de tuer. Son pĂšre vient de lui faire un cadeau macabre il a changĂ© la loi pour que les impitoyables chasseurs amĂ©ricains puissent massacrer des Ă©lĂ©phants et ramener les tĂȘtes comme trophĂ©es. Source pĂ©tition AVAAZ Mercredi 8 novembre SABI / RESERVEE PRIVEE DE TSHUKUDUSur la route, confĂ©rence de Christelle sur Leadership et rĂ©serve privĂ©e de Tshukudu est situĂ©e au coeur de la rĂ©gion du Northen Province, les 5000 hectares de nature qui composent cette rĂ©serve privĂ©e sont complĂ©tement dĂ©paysants. Tshukudu, signifiant RhinocĂ©ros en langue Sotho, est connue pour la rĂ©habilitation animale Ă la vie sauvage et possĂšde un centre de reproduction et dâĂ©levage de lions. Les ravissants bungalows du lodge ont vue sur la brousse et les fabuleuses montagnes du et dĂ©jeuner au Tshukudu Game en 4x4 accompagnĂ© par les rangers pour approcher les fauves au coucher du dans le bush avant le coucher de soleil pour Ă©couter les aventures de safaris avec, en toile de fond, les couleurs rougeoyantes du soleil couchant. Retour de nuit dans une atmosphĂšre Ă lâhĂŽtel Tshukudu Game Lodge. Jeudi 9 novembre RESERVE PRIVEE DE TSHUKUDULe lodge offre une ambiance conviviale, notamment enrichie par la prĂ©sence de 4 guĂ©pards recueillis quand ils Ă©taient bĂ©bĂ©s membres Ă part entiĂšre de la famille. DĂ©part matinal pour une marche avec les guĂ©pards "Cheetah Walk" accompagnĂ©s par les au lodge pour le petit avec lâĂ©quipe anglophone de rangers pour un safari 4x4 dans la rĂ©serve privĂ©e de Tshukudu. Cette rĂ©serve est lâoeuvre de la famille Sussens qui depuis 25 ans est reconnue pour ses actions de rĂ©habilitation au lodge pour le dĂ©jeuner au 16h00, dĂ©part pour un nouveau safari en 4x4 accompagnĂ© des rangers pour approcher les fameux Big 5 buffles, Ă©lĂ©phants, rhinocĂ©ros, lĂ©opards, lions mais aussi guĂ©pards, girafes, hippopotames, impalas, gnous, zĂšbres et dans le bush avant le coucher de traditionnel boma au lodge sous les Ă lâhĂŽtel Tshukudu Game Lodge. VidĂ©os rĂ©unies notamment Ă "Tshukudu Game Lodge" Vendredi 10 novembre RESERVE PRIVEE / PRETORIA / JOHANNESBURGDĂ©part matinal, pour le dernier safari dans la rĂ©serve de Tshukudu accompagnĂ© des rangers. Petit dĂ©jeuner, ...DĂ©part vers Pretoria Ă travers de le Transvaal de lâEst qui dĂ©ploie ses Ă©tendues infinies, Ă©crasĂ©es par le soleil, ponctuĂ©es de mines de charbon Ă ciel ouvert avec les centrales Ă©lectriques quâelles alimentent en la route, confĂ©rence de Richard sur LâAfrique berceau de lâhumanitĂ© ? Que nous apprennent les recherches archĂ©ologiques ?.Tour dâorientation de PrĂ©toria devenue capitale administrative du pays dont les fameux jacarandas fleurissent entre Septembre et Ă des bĂątiments dâUnion Building offrant une vue imprenable sur la ville et ses environs et le Voortrekker Monument qui retrace lâhistoire de la route vers Johannesburg et lâ au restaurant Ă lâhĂŽtel Misty Hills Country. Samedi 11 novembre JOHANNESBURG / SOWETO / PARISPetit-dĂ©jeuner Ă lâ du musĂ©e de lâapartheid. Ce musĂ©e couvre toutes les annĂ©es de lâapartheid Ă partir de 1948, il a Ă©tĂ© conçu par des historiens, rĂ©alisateurs, commissaires. Les tickets dâentrĂ©e reprĂ©sentent des cartes de crĂ©dit indiquant "white" ou "non white". La visite se dĂ©roule dans les nombreux espaces du musĂ©e entre photographies, films, et documentaires. Un documentaire sur Nelson Mandela datant de 1961 sâexprimant contre les autoritĂ©s du gouvernement sâoppose au reportage du premier ministre Hendrik Verwoerd expliquant les bienfaits de lâapartheid. La visite se termine dans une piĂšce contenant le livre de la nouvelle constitution Sud-Africaine qui sâouvre sur la libertĂ© des droits de lâhomme et notamment celle des noirs de lâAfrique du vers Soweto. Diminutif de South Western Township. Elle reprĂ©sente lâessence, lâĂąme mĂȘme de lâAfrique du Sud. Câest ici que sâest construite, au fil dâhĂ©roĂŻques annĂ©es, la victoire contre lâ dans un Shebeen de Soweto, restaurant local dans une ambiance conviviale !.Soweto est un patchwork de petits et grands quartiers avec des banlieues trĂšs diffĂ©rentes les unes des autres. Visite guidĂ©e de certains de ces quartiers, en passant par les maisons, de Nelson Mandela ou encore de Desmond Tutu, archevĂȘque anglican sud-africain qui fĂ»t Prix Nobel de la Paix en 1984 et le monument consacrĂ© Ă Hector Ă lâaĂ©roport de Johannesburg, formalitĂ©s dâenregistrement et dâembarquement du groupe. DĂ©collage Ă destination de Paris sur vol rĂ©gulier avec la compagnie Air France Ă Ă bord. Voir en ligne VidĂ©o des grands animaux - Tshukudu Game Lodge Portfolio Un message, un commentaire ?
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exposé sur nelson mandela en français pdf